À la frontière entre l’acte créatif et l’engagement social, le projet Tricot Saint-Lau a invité pendant 5 semaines les étudiants et étudiantes du cégep à apprendre cet art ancestral à contre-courant du fast-fashion. Des artistes sont venus les inspirer.

Durant les séances, des petits carrés de laine ont été tricotés par les élèves puis l’artiste de tricot graffiti Karine Fournier les a assemblées puis a recouvert deux objets du musée.

Pourquoi ?
Nous souhaitons susciter une nouvelle réflexion sur les objets choisis.

Comment les imaginer sans les voir ? Les objets du musée si immuables se présentent, grâce au projet, sous une nouvelle facette. L’œuvre initiale devient œuvre collective.

L’artiste photographe Manoushka Larouche a capté le geste qui crée, les gestes qui nous ont unis tout au long du projet.